Noatum redéfinit sa structure corporative afin de renforcer son leadership

Avec la nouvelle restructuration d’actifs, Noatum Maritime se renforce en incluant tous les terminaux de Noatum Ports dont la principale activité n’est pas le conteneur, c’est-à-dire ceux de Santander, Sagunto, Malaga et Barcelone (Autoterminal)

 

Noatum première entreprise espagnole en opérations portuaires et logistiques, a approuvé le 26 janvier 2017, lors de son Conseil d’administration, une nouvelle structure permettant de renforcer Noatum Maritime avec une infrastructure portuaire venant compléter les services portuaires existants en englobant tous les terminaux de Noatum Ports dont l’activité principale n’est pas le conteneur, soit ceux de Santander, Sagunto, Malaga et Barcelone (Autoterminal). Ces mesures visent à consolider le leadership en rationalisant les actifs et en développant les synergies entre les entreprises du groupe. Cette nouvelle structure reste encore à être approuvée.

Ainsi, les terminaux de conteneurs de Valencia, Bilbao et Las Palmas (OPCSA), ainsi que les ports secs de Madrid (Conterail) et Saragosse, demeurent au sein de la structure de Noatum Ports.

Afin d’incorporer les actifs mentionnés dans Noatum Maritime et d’assurer une gestion efficace, tout en envisageant les croissances et investissements futurs, trois filiales de Noatum Maritimeont été fondées afin d’intégrer toutes les sociétés de Noatum Maritime, en fonction de leurs domaines d’activité respectifs : NOATUM MARITIME SERVICES, qui englobe toutes les activités d’agence maritime du groupe (Marmedsa) ; NOATUM LOGISTICS et NOATUM MARITIME TERMINALS. Cette dernière englobe les terminaux hors conteneurs : Santander, Sagunto, Malaga et Barcelone.

Ces changements vont permettre de consolider la position de Noatum Maritime en tant que leader en services portuaires et terminaux polyvalents sur le marché espagnol et international.

Selon Douglas Schultz, directeur général de Noatum, « Cette mesure vise à rationaliser la distribution des actifs entre Noatum Ports et Noatum Maritime, de sorte que ces deux sociétés soient en mesure de maximiser leur position sur le marché et d’optimiser leur structure actuelle en répartissant de manière efficace les terminaux du groupe et en regroupant de façon stratégique les affaires du groupe afin de développer les synergies et la qualité du service proposé aux clients et de renforcer les relations commerciales à long terme ».

En ce qui concerne la structure de direction, Douglas Schultz et Chris Gray demeureront respectivement directeur général et président du Grupo Noatum. Antonio Campoy sera dorénavant directeur général de Noatum Maritime, avec une responsabilité totale sur les holdings actuels et futurs de Noatum Maritime, conformément à la nouvelle structure, et Elías García demeure au poste de directeur de l’exploitation de Noatum Ports. Ces deux derniers dépendront de Douglas Schultz.

Ces changements visent à renforcer le positionnement de Noatum Maritime en tant qu’entreprise leader en services portuaires, avec un portefeuille de terminaux polyvalents à l’échelle nationale et internationale, ainsi qu’à regrouper l’offre de ses terminaux ro-ro, vrac et polyvalents sous une structure plus vaste de Noatum Maritime en Espagne. De même, il est prévu de consolider Autoterminal en tant que Hub de la Méditerranée et point stratégique de référence en Europe pour les principales marques du secteur de l’automobile à l’échelle mondiale.

Par ailleurs, la nouvelle composition vise à maximiser le potentiel de croissance des terminaux en vrac (Sagunto et Santander) grâce au savoir-faire et à l’expérience de Noatum Maritime, ainsi qu’à développer le potentiel du terminal de Malaga en tant qu’exploitation polyvalente.

Enfin, les nouvelles mesures concernant Noatum Portsont pour objectif de maximiser la capacité de ses terminaux de conteneurs à Valencia, Bilbao et Las Palmas et des terminaux ferroviaires de Saragosse et de Madrid, ainsi que de continuer à mettre en place les plans stratégiques à long terme pour les terminaux de conteneurs, y compris l’investissement dans des grues et la capacité opérationnelle mené à bien dans les terminaux de Bilbao (34 M €) et de Valencia (100 M €).